Un mois et demi

Blogged by on Sunday December 2nd, 2007 at 6:20 pm in Français, Life hates me | 6 Comments »

Je sais pu, je crois que j’en avais parlé sur le blog publique de Senritsu : comme quoi la limite de tolérance d’un “hebergeur” était d’environ 3 semaines/1 mois avant les premières remarques du style “Tanguy” chez les parents, ou des premiers signes de tension et petites remarques si vous êtes chez de la famille ou des amis.

Et bien mes amis, avec 2 petites semaines de retards, nous y sommes !

On m’a fait comprendre avec une fausse courtoisie que j’étais (et accesoirement mon frère) devenu indésirable (je crée des “tensions”, je vous avais dit que j’étais un specialiste pour faire chier le monde sans rien faire), et que je devais me preparer à refaire mon sac assez prochainement, courant Janvier étant l’ultimatum le plus probable, même si un “accident” pourrait facilement faire avancer cette date.

Bien sûr aucune rencoeur, c’est normal après tout vu que je squatte chez eux, mais bon j’aurai bien aimé être épargnier des banalités récitées par un couple de gamins de 20 ans qui sous pretexte qu’ils sont bien installés dans leur petit train-train essaie de t’apprendre la vie… m’enfin bref, mon frère étant absent pour 10 jours il va falloir dès son retour que l’on se penchent sérieusement sur trouver un endroit où aller après les fêtes. Au revoir à toi, rafraichissante ville de Toulon, cette rencontre aura été courte mais exquise.

Prochain post peut-être dans quelques jours en direct de Kaboul qui sait.

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Sinon pour sortir rapidement de mes histoires de street-life; J’ai eu l’occasion de lire le 1er volume du manga Yotsubato, qui au passage est excellent (par l’auteur de Azumanga Daioh), puis je mate le dos de la couverture une fois fini et que vois-je : 7,50€ ! 50 balles !

C’est clair que l’arrivée de nouvelles maisons de publication a entrainée l’apparition de manga que j’imaginais ne jamais voir ici (Aria, Kashimashi, Midori no Hibi, Hajime no Ippo, Pretty Face, et j’en passe), mais de l’autre côté les éditeurs se gavent bien comme il faut grace à la nouvelle generation “manga/Nintendo DS/Tokio Hotel” (dit “Generation Suika”, comprenne qui pourra) dont ma petite soeur fait partie.

Fini la belle époque des manga à “san juu ni furan”.

:beer:

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